Les 4 habitudes qui ruinent ton sommeil (et comment les corriger)

Studio Fit U
Mindset/Motivation
Publié: 17/04/2025
Mise à jour: 17/04/2025

La consommation de stimulants
Environ 80–90 % des gens consomment de la caféine chaque jour, et presque 1 sur 5 fume ou vape de la nicotine. Ce que tu ne sais peut-être pas, c’est que ces petits boosts d’énergie sont aussi des tueurs de sommeil : ils gardent ton système en alerte.
Pas trop grave si tu prends un petit café à 7 h du matin, ok. Mais si tu bois 2–3 cafés dans la journée, que tu rajoutes un Red Bull ici et là ou une puff de vape après souper... là, on n’est plus dans la même game.
Disons que tu prends un café vers 13 h parce que t’as les paupières en béton armé. C’est logique. Mais le problème, c’est qu’à 17 h, y’a encore 50 % de cette caféine qui circule dans ton corps. Et à 22 h, y’en reste encore pas mal. Donc ton système est en mode "on" quand il devrait se préparer à dormir.
Maintenant, imagine devoir éliminer trois cafés, un verre de vin rouge, et quelques puffs de vape... puis t’attendre à t’endormir easy à 22 h. Nope. Ton corps va te ghoster.
Et oublie pas : c’est pas juste le café. La caféine se cache aussi dans les pre-workouts, les boissons sucrées (allo Coca-Cola), et en masse dans tes drinks préférés chez Starbucks.
La solution :
Fais la liste de tous les stimulants que tu consommes dans ta journée—café, thé, pre-workout, Monster, whatever—et donne-toi une heure limite.
La caféine prend 5 à 10 heures à sortir de ton système, donc essaie de prendre ta dernière dose 8 à 10 heures avant d’aller te coucher. Ouais, ça veut dire pas de latte à l’avoine à 16 h. Tough love. Tu vas t’en remettre.
Le stress et le overthinking
Le soir, tout semble chill. T’as soupé, le soleil s’est couché, la vie est douce. Mais là tu t’étends… et boom : ton cerveau part en road trip sans GPS. Pensées en boucle, to-do list, souvenirs gênants de 2011... tout y passe.
Classique surcharge mentale. Ton corps est prêt à dormir, mais ton cerveau est encore dans le trafic. Et si tu lui donnes pas un espace pour décrocher avant de te coucher, il ne va pas se calmer juste parce que tu le veux.
Pense-y comme ça : t’as deux enfants à mettre au lit—ton corps et ton cerveau. S’ils sont pas sur la même longueur d’onde, prépare-toi à une nuit weird.
La solution :
Si le stress ou l’anxiété viennent foutre le bordel à l’heure du dodo, donne-leur un espace pour s’exprimer avant d’aller au lit.
Écrire peut vraiment aider. On appelle ça un brain dump : tu vides ton cerveau sur papier—tes pensées, tes inquiétudes, ton horaire de demain—pour éviter qu’elles fassent la fiesta dans ta tête toute la nuit.
Va old-school : papier, crayon, cahier cheap. Ça marche mieux que de taper sur ton cell (et bonus : ça t’éloigne des écrans).
Le manque de structure
Ton corps a une horloge intégrée qui gère tout : quand tu dois avoir faim, quand tu dois te réchauffer, te refroidir… et bien sûr, quand tu dois dormir.
Mais cette horloge a besoin de repères. Si ton horaire de sommeil est tout croche, ton corps sait plus quand se mettre en mode “off”. C’est pour ça que, après quelques soirées à binge-watcher ou étudier tard, c’est pratiquement impossible de te coucher tôt le lendemain. Ton système est tout mélangé.
La solution :
Donne un rythme stable à ton corps. Essaie d’aller au lit et de te lever à des heures semblables chaque jour (ouais, même la fin de semaine... je sais).
Dormir trois heures de plus le dimanche matin après avoir veillé jusqu’à 2 h la veille? Pas l’idéal si tu veux vraiment récupérer.
On aime la règle du 80/20 : sois constant 80 % du temps, et laisse-toi un peu de slack 20 % du temps. Pas besoin d’être parfait—juste d’avoir une vraie routine.
Un environnement de sommeil bof
Beaucoup de gens pensent que dormir, c’est juste aller se coucher. Mais ton corps et ton cerveau ressentent tout : lumière, bruit, chaleur… et ça les affecte.
Même les détails les plus subtils peuvent déranger ton repos. T’sais, quand tu dors, t’es inconscient pendant plusieurs heures—ton corps veut se sentir en sécurité pour vraiment lâcher prise.
La solution :
Commence à tamiser les lumières quelques heures avant d’aller au lit pour envoyer le signal à ton cerveau que c’est l’heure de relaxer. Ajoute à ça un peu de calme—pas de séries stressantes, de débats philosophiques ni de courriels de job de dernière minute.
Ta chambre doit être noire, silencieuse et fraîche. Température idéale : environ 18 °C. Utilise des rideaux opaques, un masque de sommeil, des bouchons si y’a du bruit—tout ce qui peut t’aider. Pas besoin que ce soit cute, faut que ce soit efficace.
En résumé
Ces habitudes ont l’air anodines, mais elles peuvent sérieusement saboter ton sommeil et ta récupération. La bonne nouvelle? Elles se corrigent toutes. Et la majorité ne coûte rien—juste un peu de conscience et de constance.
Si tu te sens fatigué.e, brouillon, ou juste pas toi-même, regarde tes habitudes de sommeil en premier. Parfois, un petit ajustement peut vraiment tout changer.
Une question sur ton sommeil ou ton protocole de récupération? Écris-nous—on est là pour ça.
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